mercredi 2 septembre 2009

Une apostille avec ça?


Il faut avoir une âme d’artisan pour écrire. Et je dis artisan dans le sens noble du mot. L’artisan qui a l’humilité, la minutie et la ténacité de bâtir patiemment un livre, de se colleter pendant des mois avec la page blanche (euh… avec son clavier), façonner son intrigue, sculpter ses chapitres, ciseler ses phrases…

Pour ceux qui s’intéressent à la technique, qui aiment savoir ce qui se passe derrière la scène ou dans l’arrière-cuisine, jetez un coup au blogue de l’écrivain Camille Bouchard, qui nous offre un fascinant coup d’œil sur sa technique de préparation à l’écriture d’un roman.

Quand je vois la somme astronomique de travail qu’il a abattu, les longs mois de recherche et de préparatifs avant même d’écrire une seule ligne, je comprends pourquoi je n’écrirai pas de roman historique…

En passant chez Camille, vous découvrirez comment il se sert de l’apostille… Et non, ça n'a rien à voir avec les postillons, les crachats ou la salive qui s'envole...

Et pour savoir ce que fait Camille en compagnie d’une si jolie dame, cliquer ici.

2 commentaires:

  1. Je te mets juste un petit commentaire ici pour te remercier publiquement de l'intérêt que tu portes à mon travail, mais le sentiment véritable, je te l'ai plutôt envoyé pudiquement par courriel. Merci.

    (En parlant de l'apostille : dans le tome 5 de Pirates, j'ai usé de la même construction de chapitres, mais les courts liens entre les sujets, je les ai appelés "Intermezzo". Pas mal non plus.)

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  2. Camille,
    Charmant la pudeur chez un homme... Ça ne se voit pas si souvent...
    Et tout aussi charmant ce intermezzo... tu as le don de trouver de jolis noms pour ces petits bouts de texte courroie...
    Andrée

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