La poutine. Oui m’sieurs dames! Avec un titre comme La plus grosse poutine du monde, mon nouveau roman parle de… poutine.
Ce roman met en vedette un héros impulsif, qui agit souvent avant de
penser. Voilà donc notre fougueux héros qui se lance (illégalement
et dangereusement…) dans l’escalade d’un château d’eau…
Si notre
héros se montre un tantinet kamikaze, c’est pour chasser le chagrin sournois
qui le ronge. Pour oublier le vide
douloureux causé par l’absence de sa mère, disparue il y a neuf ans, sans
donner d’explication. Sans laisser d’adresse.
Lorsque sa
peine est trop lourde et son cafard trop intense, notre héros rêve de se
téléporter dans l’espace, là où il pourrait hurler tout son saoul, sans que
personne ne l’entende…
Puisque ça ne donne rien de se complaire dans le chagrin, notre héros décide un beau matin de réaliser un record Guinness. Rien de moins.
Ce défi
ambitieux amène notre héros à faire des rencontres inusitées et inattendues... Comme ce youyou du Sénégal.
Un youyou
ma foi fort impoli.
Un youyou
qu’on pourrait même qualifier de dangereux.
En quête de
son record Guinness, notre héros réveille de vieux souvenirs et déterre
quelques secrets…
Mais quand on est impulsif et qu’on pose des questions indiscrètes, les ennuis finissent par se pointer le bout du nez…
Et un ennui
n’arrive jamais seul…