À s'en lécher les babines.. |
Que la poutine
mène parfois au chocolat, qui s’en plaindra?
Surtout pas une chocophile comme moi.
Dans le cadre du Salon du livre du Grand Sudbury, j’ai donné cette semaine des animations d’auteure dans des écoles primaires de Sudbury. J’ai donc rencontré plusieurs classes qui avaient lu mon roman La plus grosse poutine du monde.
Surtout pas une chocophile comme moi.
Dans le cadre du Salon du livre du Grand Sudbury, j’ai donné cette semaine des animations d’auteure dans des écoles primaires de Sudbury. J’ai donc rencontré plusieurs classes qui avaient lu mon roman La plus grosse poutine du monde.
Trois de ces
classes m’ont offert du chocolat.
Au début, je ne comprenais pas. Hein? Quoi? Du chocolat pour moi?
Jusqu’à ce qu’une enseignante me relise ma notice biographique sur la quatrième de couverture du roman.
Au début, je ne comprenais pas. Hein? Quoi? Du chocolat pour moi?
Jusqu’à ce qu’une enseignante me relise ma notice biographique sur la quatrième de couverture du roman.
Hé ben, c’est
bon à savoir ça les copains...
Pour la notice biographique sur mon prochain livre, au lieu de parler de mon obsession pour le chocolat, j’écrirai que j’adore les lingots d’or.
Pour la notice biographique sur mon prochain livre, au lieu de parler de mon obsession pour le chocolat, j’écrirai que j’adore les lingots d’or.
Un gros merci bien
sucré aux écoles St-Paul, Camille Perron
et St-Joseph pour le chocolat!