Cérémonie de remise du prix TD - au Musée des Beaux-Arts de Montréal |
Reconnaissante à la Banque TD de promouvoir avec autant de vigueur et de constance la littérature jeunesse.
Ravie d’avoir pu amener à cet événement chic et mondain mon papa de 84 ans, qui s’est promené toute la soirée comme s’il était dans son propre salon, parlant à tout le monde, épatant la galerie avec sa faconde et faisant rire avec ses anecdotes.
Les 5 livres finalistes au prix TD 2015 |
Reconnaissante de m’être retrouvée finaliste pour une deuxième année consécutive à ce prix prestigieux. Choyée je suis.
Ravie de voir tous ces bénévoles de la banque TD donner un coup de main durant cette soirée gala. Ils étaient là, aux portes, nous guidant dans les dédales du Musée, patients et souriants. Ravie de voir que des gens qui travaillent dans le système bancaire sont prêts à donner bénévolement une soirée pour promouvoir la lecture chez les jeunes. Y’a de l’espoir!
Reconnaissante à toutes ces bibliothécaires, conseillères pédagogiques, enseignantes qui étaient présentes, hier soir, pour célébrer la littérature jeunesse. Elles vibrent, elles sont allumées et engagées dans leur travail. Je parle de vous, Julie Marcoux, Geneviève Gareau, Heather Brydon, France Lapierre, Richard Migneault, Élaine Turgeon, Danièle Courchesne et toutes les autres… Merci de porter le flambeau de la lecture avec autant de conviction et de panache.
Ravie d’avoir pu serrer hier la pince de Yayo, dont j’admire le travail depuis si longtemps.
Reconnaissante d’avoir pu passer 4 heures en voiture avec mon papa (aller-retour Aylmer/Montréal en une soirée) que je n’ai pas souvent la chance d’avoir à moi seule. Tandis que je l’écoutais me raconter ses souvenirs d’enfance, me réciter des extraits de la tirade du nez de Cyrano de Bergerac et m’exposer son analyse de la scène politique actuelle, je me disais : voilà un moment précieux, à savourer dans son entièreté…
Ravie d’avoir pu cette année profiter pleinement de l’opulent buffet de desserts de la soirée TD. Me suis rattrapée pour l’an dernier, où j’avais complètement raté cette décadente ode au sucre. Hier soir, je me suis jetée sur les mignardises comme la misère sur le pauvre monde. Et je n’étais pas la seule à m’empiffrer joyeusement. Peut-être que les auteurs jeunesse ressemblent en cela aux enfants? Ils ne se privent pas du plaisir d’être gourmand…