Jacques Goldstyn |
Moi qui vis de ma plume, je suis catastrophée de voir des créateurs mourir à cause de leur plume. Dans les dernières 24 heures, de nombreux illustrateurs, bédéistes et artistes ont sauté sur leur plume pour exprimer leur peine, leur rage et leur désarroi devant le massacre insensé à Charlie Hebdo.
Deux créateurs de chez nous, l’une en début de carrière et l’autre un routier aguerri, ont créé (avec une rapidité qui m’impressionne et m’ébahit) des images qui fessent. Des images inoubliables.
Merci Jacques Goldstyn.
Merci Boum.
Merci de mettre si éloquemment en images ce qu’on n’arrive pas toujours à exprimer.
J’ai écrit un texte sur la vision engagée de Jacques Goldstyn, paru dans le plus récent numéro de Lurelu. Quant à Boum, elle travaille présentement sur les illustrations de mon prochain album qui sera publié aux éditions Druide.
Jacques Goldstyn - 2006 |