Ce n'est pas mon dégât est finaliste au Prix littéraire des enseignant·es de français. Heureuse de voir que ce livre sur le vivre-ensemble à l’école trouve un écho auprès des profs.
Aujourd’hui, on célèbre les 50
ans du drapeau franco-ontarien. C’est aussi la journée « J’achète un livre
franco-ontarien ».
Moi qui habite désormais à un pont de l’Ontario français, je
m’inquiète pour ma province natale. Déclin démographique des francophones et
assimilation croissante…
Mon père s’est battu pour que le gouvernement laisse
l’accent sur Orléans. Mais le français reste une flamme fragile en Ontario.
Allez, tous ensemble, on gonfle les joues et on souffle fort! Faut alimenter le
feu!
En ce 12 août, devenu fête du livre québécois, voici quelques raisons d’acheter un livre de
chez nous :
·
encourager nos
auteurs et nos éditeurs
·
soutenir nos librairies indépendantes
·
stimuler notre économie locale
·
débusquer votre
prochain coup de cœur
·
contribuer à la
vitalité de notre culture
· célébrer notre langue française
Le jour où Jules rencontre Virgule, tout bascule. Pour apprivoiser le chiot abandonné, ce garçon qui déteste lire ouvre un bouquin. Peu à peu, Jules s’ouvre aux joies de l’aventure/lecture.
Raconté par une grande sœur bourrée d’empathie, ce récit aborde la zoothérapie et pourrait s’avérer aussi réconfortant qu’un câlin de chien. Pour les enfants qui aiment la lecture et aussi pour ceux qui résistent au plaisir des livres.
À noter : aucun animal n'a été forcé à lire pendant la création de cet album.
Illustrations de Juliette Miron.
Publié chez Dominique et Compagnie.
En librairie maintenant.
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Ce roman est publié par Bayard Jeunesse Canada.
La fiche pédagogique est disponible sur mon site web, en cliquant ici.
Vous avez une fringale de lecture?