Chaque fois que je publie un livre, je me demande quelle sera sa durée de vie.
Deux ans, cinq ans, dix ans?
Avec le land art, aucun questionnement.
Dès le départ, on accepte de baigner dans l’éphémère.
Voici la deuxième création de mon aînée, sur la plage de Sainte-Flavie.
Je lui apportais les roches et les algues et elle montait ses pièces.
L’artiste à l’œuvre.
La marée commence à monter.
La mer a défait en 15 minutes ce que nous avions mis 90 minutes à monter.
Ça ressemble (en plus beau) aux chateaux de sable qu'on fait sur le bord de la mer.
RépondreEffacerÀ Sainte-Flavie, pays du grand rassemblement de Marcel Gagnon, ta fille lui fait concurrence, hihi!
C'est comique, parce qu'au départ, je les voyais géants les inukshuks à la chevelure verte (les algues sont fraiches par là !) et puis, après, on relativise aux côtés de leur créatrice.
RépondreEffacerAu moins, l'éphémère aura une longue vie sur l'Internet !
Magnifiques oeuvres-d'art!
RépondreEffacerClaude: tu as raison, ce ne sont pas les artistes qui manquent à Sainte-Flavie.
RépondreEffacerVenise: N'est-ce pas qu'elles sont éclatantes de couleur les algues du Bas du Fleuve.
Isabelle: je transmets le compliment à ma fille.