Je l’envie cette
coccinelle.
Je voudrais une
robe à pois comme ça.
Assortie d’une
paire de doubles ailes.
Je voudrais aussi
dormir dans une fleur.
Je voudrais
surtout pouvoir prendre mon envol aussi lentement.
Aussi majestueusement.
Que cette bête à bon Dieu.
Aussi majestueusement.
Que cette bête à bon Dieu.
Plutôt que tout
le temps démarrer en trombe.
Ou déraper
ridiculement.
Wow! Tu penses encore à ta chute en montagne?
RépondreEffacerSi j'avais les ailes d'un ange... merci de nous faire réaliser que c'est encore mieux d'avoir les doubles ailes d'une coccinelle.
RépondreEffacerToujours le mot pour le dire et l'image pour accompagner.
Enfile une petite robe à pois... on sait jamais !
Andrée-Anne: oui, cette chute là mais d'autres aussi, moins littérales mais tout aussi douleureuses...
RépondreEffacerVenise: O.k. je vais demander une robe à pois pour Noël!!!
Elle est belle la tienne. Si nous n'en avions eu qu'une seule, mais un bataillon, ça te mange du bois, ça madame! Et ça rentre dans la maison, ça tourne autour des lumières et ça s'envole dès que ça voit la tapette à mouche. Je serais bien incapable de "poétiser" sur cette petite bestiole. Pas plus que sur la souris, le mulot ou l'écureuil.
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