"Dessine-moi un mouton", demandait Le Petit Prince. Et pourquoi pas un baobab?
Après avoir lu La Disparition du bébé chocolat, les élèves de cinquième année de l'école Des Belles-Rives à Gatineau ont dessiné des baobabs.
Depuis mon
séjour à Ouagadougou au début des années 2000, je reste fascinée par les
baobabs, ces arbres-bouteilles, qui pour les Africains sont des arbres sacrés.
Avec son tronc
ventru, ses branches nues et tordues, le
baobab me rappelle un grand-père ratatiné mais majestueux. Selon une légende, le baobab aurait été
planté la tête en bas...
Chère madame Poulin,
RépondreEffacerNous vous remercions d'avoir mis quelques baobabs sur votre blogue. C'est très apprécié!
Vous avez fait de bons choix. On vous invite à revenir nous rendre visite!
Les élèves de la classe de Mme Desparois.
Aux élèves de la classe de Mme Desparois,
RépondreEffacerWow! Voilà que vous laissez des messages sur les blogues maintenant! Vous êtes très débrouillards!
Merci de votre gentille invitation. Je reviendrai avec plaisir à votre école.
En attendant, je vous souhaite de belles et bonnes lectures!
Andrée
Le Petit Prince ne voulait pas un baobab car si un des ces arbres immenses avait poussé sur sa petite planète, il aurait pu la détruitre! C'est pour cela qu'il voulait un mouton! De mon côté, j'adore les baobabs et j'aimerais un jour en voir des vrais, alors je remercie les élèves de la classe de Mme Desparois d'en avoir dessiner!
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