L’initiative a un nom aussi évocateur que poétique: la Forêt de la lecture. Quant aux prix littéraires, ils portent des noms assortis : prix Peuplier, Tamarac, Pin blanc, Érable rouge, etc. Organisée par l’Association des bibliothèques de l’Ontario et une poignée de bibliothécaires aussi engagées que passionnées, la Forêt de la lecture est le plus vaste programme de lecture récréative en son genre au Canada.
L'événement compte un volet francophone et un volet anglophone, et huit catégories pour les divers groupes d’âge. Durant l’année, les jeunes lisent les œuvres en nomination. Puis, le printemps arrivé, ils votent pour leur livre préféré.
La semaine dernière, à Toronto, plus de 1 500 jeunes francophones ont convergé hier vers le site enchanteur du centre Harbourfront, pour voir s’ils avaient voté judicieusement et si leur « poulain » allait remporter les prix convoités.
Le soleil faisait scintiller les eaux du lac Ontario, tandis que dans les gradins, les élèves sifflaient, applaudissaient, hurlaient et brandissaient leurs pancartes. On aurait dit un spectacle rock. Hé oui, la lecture peut encore enthousiasmer les jeunes!
Le soleil faisait scintiller les eaux du lac Ontario, tandis que dans les gradins, les élèves sifflaient, applaudissaient, hurlaient et brandissaient leurs pancartes. On aurait dit un spectacle rock. Hé oui, la lecture peut encore enthousiasmer les jeunes!
Bravo à la lauréate du prix Peuplier, Caroline Merola, pour son livre Ça commence ici. Dans cette même catégorie, mon album Un bain trop plein a remporté une mention honorable. Pour la liste complète des finalistes de la Forêt de la lecture, cliquez ici.
J'avais tellement aimé cet album, fantaisiste et plein de tendresse!
RépondreEffacerDeux années de suite à Toronto? Tu es en feu!!
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