Je pars.
Sans enfants.
Sans ordinateur. (Ouille…. Je débranche mais j’ai peur d’être en manque…)
Je pars.
Avec mon chum.
Mon maillot.
Et une pile de livres.
Je pars.
Je m’envole.
Je m’en vais voir ce que Fidel Castro a fait (ou n’a pas fait) pour ses camarades.
Je m’en vais siroter des « Cuba libres ».
Je m’en vais laisser mes traces dans le sable chaud.
De retour sur ce blogue dans une huitaine.
Vous allez me manquer. Vous auriez pu nous parler du sable chaud ou pas. Des enfants qui pataugent ou qui vous manquent. Au retour peut-être de belles photos. De soleil comme on les aime, malgré la douceur de notre hiver.
RépondreEffacerBon voyage, bon repos et ennuyez-vous en masse de nous, ça devrait faire une belle corde à linge de mots rafraîchissants à votre retour.
Je ne peux même pas dire que je vais garder le fort pendant votre absence, chaque matin, j'hésite à écrire ce qui me passe par la tête. Je fulmine et la colère se retournerait sans doute contre moi, alors j'apprends à me taire.
Que ce débranchement soit comme un vent doux au visage. Sans enfants, l'amoureux, les livres, la plage, vraiment, je pense sincèrement que vous allez plutôt vous brancher à vous-même.
RépondreEffacerProfitez-en ... à la revoyure !
Bonnes vacances!!!!
RépondreEffacerÇa fait tellement de bien de débrancher...
bon soleil, Andrée, bons punchs, bonne baignade, bon vent et tout et tout. Une semaine parfois, c'est si court...
RépondreEffacerQu'à ce trop fidèle
RépondreEffacerhiver
tu échappes!
(Il y a du Soulières en moi.)