lundi 7 novembre 2011
Le pissenlit se prête bien au land art
Photos et land art : Charlotte Poulin-MacMillan
Quand on traîne pendant des années un manuscrit qui parle de pissenlits, impossible après de se désintéresser de cette fleur si captivante.
En novembre, nous voici et ils sont toujours là « mes » pissenlits.
Dans les pelouses jaunes, il en reste quelques irréductibles, un peu ratatinés, un tantinet recroquevillés, mais tenaces tout de même.
J’aurai toujours un faible pour la beauté délicate du pissenlit en voie de dissémination. Vers la fin de sa vie, le pissenlit perd sa couleur et ses pétales. Il se rabougrit et se transforme en petite boule grise et rasée. On l’appelle alors Tête-de-moine.
Ma fille aînée, qui s’adonne au land art, a fignolé cette création. J’aime le contraste entre la trame écailleuse des cocottes et la dentelle délicate de la fleur en décomposition.
Suffit d’une poignée de feuilles pour créer un tableau, une illusion...
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Une image vaut mille mots
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Étrange, je pensais à toi en lisant l'entrevue de Charlotte Gingras et ton billet apparaît!
RépondreEffacerhttp://www.librairiemonet.com/blogue/2011/litterature-jeunesse/questionnaire-dauteur-charlotte-gingras/
beaucoup de talents complices.
RépondreEffacerChère idmuse: merci pour le lien pour cette entrevue avec Charlotte Gingras, une auteure qui m'intéresse toujours grandement.
RépondreEffacerFélicitations à Charlotte pour les belles photos.
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