Photo: Jenny Bunz
« Nous vivons à l’âge de la
distraction, de Twitter, du multitâches et de la capacité d’attention très
limitée. Mais ce qui permet de produire
un véritable travail (et nous offre un réel bonheur), c’est la profondeur, la
concentration et l’engagement sur une longue période de temps. La solution à l’éparpillement, c’est d’être ferme
et résolu. Être capable de tirer des lignes, de créer des frontières
intérieures pour préserver l’espace mental et émotif qui nous permet de faire
notre travail et d’être fidèle à soi-même. Il faut rester en place pour plus longtemps
que quelques minutes ou pour plus longtemps qu’un message de 140 caractères. »
Superbe. Merci.
RépondreEffacerCe monsieur aurait tout aussi bien pu dire ....stop the world I want to get off.
RépondreEffacerBonne journée
POPO
Twitter, je ne connais pas. Plus exactement je ne Twite pas. J'ai un blog, je viens de me lancer sur Facebook, sans vraiment grande conviction. C'est autre chose. Ton idée de tirer des lignes pour se protéger, c'est en gros ce que je fais autour de ces pratiques virtuelles, et je passe le plus long de mon temps dans la vraie vie.
RépondreEffacerJe ne fais pas beaucoup de concessions sur mon blog et j'essaie de tenir une ligne éditoriale choisie depuis son ouverture. Certains sujets abordés comme celui de cette semaine, avec les gisants, ne sont pas des plus consensuels mais il font partie de ma pratique. Une marge de la vie que j'aime de temps en temps, explorer.
Le land art, n'est pas pour moi une distraction, mais une expression. Certains ne l'ont pas encore compris au bout de 3 ans de blog. C'est leur droit, après tout.
Je te souhaite une belle soirée et je te remercie pour ce billet.
Amicalement.
Roger
Je te comprends parfaitement . J'ai pris ces résolutions depuis un moment déjà. Seule solution pour ne pas "s'évaporer" dans le monde virtuel.
RépondreEffacerBelle soire.
Roger
Roger,
RépondreEffacerJe suis allée me balader sur votre site, pour voir vos oeuvres récentes. Vos créations sont toujours aussi fascinantes. Et belles.