Le weekend de l’Action de Grâce est toujours
un moment archi achalandé dans le parc des Adirondacks. Y’a plein de monde qui veut suer/souffler/escalader
dans les montagnes et admirer la flamboyance des feuilles. L’afflux de randonneurs engendre un manque de
places dans les stationnements. Et quand
un conducteur imbécile-incivil prend trois places au lieu d’une seule, ça fait beaucoup de frustrés.
Moi, cette note m’a laissée perplexe :
- L'auteur du message a retardé sa randonnée pour exprimer sa colère sur papier. S'est-il senti soulagé après l’avoir écrite?
- Est-ce inévitable que la colère attise le vulgaire?
- Comment a réagi le propriétaire de la voiture en lisant la note?
- Si je m’étais donné la peine de laisser un mot, j’aurais écrit quoi?
- Et vous?
Tu vas sans doute trouver beaucoup de tes réponses en cliquant ici.
RépondreEffacerFascinante cette étude sur les insultes. Où trouves-tu le temps de trouver ça Camille-le-prolifique?
RépondreEffacerEn lisant mes nouvelles, le matin, quand je suis tanné d'entendre parler des roses à Normandeau. ;o)
EffacerJe suis d'accord pour prendre le temps d'écrire un mot, mais un mot empreint de respect, un mot pour faire réfléchir, par pour enflammer un individu qui ne comprendra pas le message.
RépondreEffacerVenise... toujours aussi délicate et généreuse dans tes réactions...
RépondreEffacer