vendredi 31 octobre 2014

Mille mercis à la TD! Un prix, ça donne de l’élan!




 

Maintenant que mes deux minutes de gloire sont derrière moi, je peux reprendre mon souffle et offrir enfin  mes remerciements en bonne et due forme, avec courbettes et gants blancs, pour cette fabuleuse récompense : le Prix TD de littérature pour l’enfance et la jeunesse.

Avant de remercier Gutenberg, ma mère et la planète entière, un petit mot pour dire bravo, bravissimo aux finalistes du prix TD : Élizabeth Turgeon, Marianne Dubuc, Jasmine Dubé et Jean-Luc Trudel, India Desjardins et Pascal Blanchet.  J’aurais voulu qu’on soit tous gagnants.

Et maintenant, merci, merci, merci :

  • À mon éditeur, Bayard Canada, qui m’a fait confiance et qui a publié cette histoire fantaisiste d’un ado qui veut se retrouver dans le livre des Records Guinness en faisant la plus grosse poutine du monde.
  • À Carole Tremblay, ma directrice littéraire sur ce roman.  Rigoureuse et exigeante, Carole a aussi fait preuve d’une diplomatie et d’un humour impeccables.  Sans son appui, mon roman ne serait pas ce qu’il est aujourd’hui. À tous les auteurs, je souhaite ce cadeau : une directrice littéraire de la trempe de Carole Tremblay.
  • Merci à mon conjoint et mes filles, qui endurent si patiemment mes angoisses d’auteure, mes sautes d’humeur et mes éternels questionnements.  Sans blague, à tous ceux (ou celles) qui songent à épouser un écrivain, pensez-y deux fois… 
  •  Merci à mes parents qui, il y a très longtemps, ont dormi dans leur char, toute une nuit, à Sainte-Foy, afin d’être présents lorsque j’ai reçu mon tout premier honneur littéraire des mains de Jean Garon, à l’époque ministre de l’Agriculture (cherchez l’erreur). Deux décennies plus tard, mes parents étaient encore présents cette semaine au Musée des Beaux-Arts de Montréal, pour trinquer au champagne avec moi.
  •  Merci à mes sœurs, pour leur soutien indéfectible, leurs encouragements ardents et leurs conseils de mode que je n’ai pas eu le discernement (ou le temps) de suivre.  Danièle, je te jure sur la tête de mes filles de ne plus jamais remonter sur scène avec des « galoches » aux pieds.
  • Finalement, mille mercis à la TD pour cet immense honneur et pour cette bourse très TRÈS généreuse. Avec cette somme bien rondelette, je vais m’offrir le plus grand des luxes : du temps.  Du temps pour ÉCRIRE!  Ce prix me donne un formidable élan. La meilleure façon d’exprimer ma gratitude et d’être digne de cette belle distinction,  c’est de retourner devant la page blanche (ok, devant l’écran, mais ça fait moins romantique…) et de travailler encore plus fort afin de m’améliorer comme auteure.  Pour donner aux jeunes des histoires qui allumeront en eux des étincelles. 

 À mon prochain passage dans la métropole, je compte m’offrir un petit luxe gastronomique : la célèbre poutine au foie gras du resto Au pied de cochon.  Merci la TD!

3 commentaires:

  1. C'est ce que je me demandais... si au moins tu aimais la poutine!
    Et pour ce qui est des galoches, ne t'inquiète pas trop, sur les photos officielles, les écrans sont tellement gros, on voit ton livre bien plus que tes pieds, tout petits petits!

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  2. Merci Claude de me rassurer! Je n'ai jamais été douée pour la mode...

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  3. Ministre de l'agriculture... poutine... y a quand même une ligne directrice, là. Tu nous ponds quoi, la prochaine fois? (Ciel! Je bobsouliérise!)

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